Marc Keller
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mick6Ben pourquoi tu le fais pas ?
Ca à l'air de te tenir beaucoup à cœur , non ? Donc vas-y, et n'attends pas quelqu'un d'autre ( qui aura forcément sa subjectivité, et ses propres intérêts ) le fasse à ta place.
En attendant, tout ce que tu racontes, et la véhémence avec laquelle tu le dis, me fais plutôt penser que tu cherches à descendre Keller avant même d'avoir les preuves tangibles de sa "forfaiture"
Je peux entendre qu'on n'aime pas quelqu'un mais quand on veut vraiment attaquer la réputation d'une personne, il faut poser des faits sur la table. Ainsi, chacun peut juger par rapport à ses propres critères. -
Si on pouvait laisser François Keller tranquille ce serait pas mal. Ce qu’il a fait dans les jours qui ont suivi la liquidation du club suffit à justifier une statue au pied du stade.
Après pour en revenir a la décision de vente du club, le Racing était à la croisée des chemins ou à un double tournant : un tournant dans sa propre histoire (le risque du début de stagnation voire de régression principalement du fait du manque de moyens pour franchir le prochain palier) et un tournant dans l’économie du foot français, européen et mondial (la place grandissante du rôle joué par l’argent dans la compétitivité d’un club).
Marco a pris un risque (et un chèque certes mais pas immérité), mais c’était certainement le moment idéal voire crucial pour le prendre et franchir un palier.
Bien évidemment que je m’identifiais davantage au club avant la vassalisation du club, mais les interventions sur la Stub sont tellement unilatérales que je me sens obligé de pointer que le verre est aussi à moitié plein et pas uniquement à moitié vide. -
iralos13 a écrit, le 29/06/2024 20:52 : Est ce que quelqu'un a vu l'interview de Matc Keller sur BFM Alsace ?
Si oui, un petit résumé svp
Intéressante ses réponses au sujet des cas Doukouré et Perrin.
Pour le premier on sent (heureusement) une certaine envie de la garder.
Pour le deuxième j’interprète sa réponse comme „malheureusement on a encore reçu aucune demande donc il est encore là mais croyez bien que dès qu‘un club se manifeste on le dégage direct“. -
Ben oui le deuxième a dit la vérité et sans langue de bois , faut pas toucher au plus beau
Par contre le premier il peut espérer le garder mais uniquement espérer car lui aussi n’a plus aucune envie de travailler avec pat. -
mankei a écrit, le 30/06/2024 14:24 : iralos13 a écrit, le 29/06/2024 20:52 : Est ce que quelqu'un a vu l'interview de Matc Keller sur BFM Alsace ?
Si oui, un petit résumé svp
Intéressante ses réponses au sujet des cas Doukouré et Perrin.
Pour le premier on sent (heureusement) une certaine envie de la garder.
Pour le Douk, qui veut partir, on sent surtout qu’on va s’asseoir autour d’une table à la moindre offre sérieuse :) -
Je pense que le seul truc qui bloque vraiment entre Keller et Blueco, c'est la difficulté à obtenir ne serait-ce qu'une recrue expérimentée. Qui apporte un vrai plus on se comprend, je parle pas de Dreyer ...
Du reste, et je précise que c'est purement subjectif, je pense qu'ils sont sur la même longueur d'onde. Recruter des jeunes de ligues exotiques pour les faire éclore et ensuite générer une marge financière, je pense que ce n'est pas incompatible avec la manière dont Keller perçoit le foot. Cela a même été une bonne part de sa stratégie de recrutement dans les années 2000. D'abord avec un certain succès (cf Hagui, Boka, Keita, voire Farnerud), puis avec une surabondance de chèvres et un manque criant de moyens (Gmamdia, Loué, Abou ...). Rebelote à Monaco.
Je l'avais déjà soulevé la saison dernière, mais pour moi le fait qu'on ait eu pendant les années post-remontée une stratégie de recrutement très "terroir" L1/L2, ne signifie pas que Keller n'apprécie pas d'autres stratégies. Dont l'actuelle, qui ressemble un peu à celle des années 2000 mais avec de vrais moyens pour ne pas (trop) se gourer dans les joueurs exotiques qu'on recrute.
Tout ça pour dire que Keller n'est pas forcément contre-nature et/ou hypocrite lorsqu'il défend le recrutement de jeunes en devenir, mais au contraire satisfait d'avoir pu trouver un financeur qui partage cette vision avec lui :) -
On reproche à Keller d’avoir sabordé ce qu’il a créé en vendant le club à blueco,
Donc on lui reproche de ne pas avoir trouvé d’autres acheteurs sans savoir qui étaient les autres potentiels acheteurs (drôle aussi)
On lui reproche de ne pas avoir continué à garder les rennes du club à défaut d’acheteur,
Par contre qu’il s’en soit occupé pendant 10 ans ça c’est normal,
Alors ma crainte de la politique blueco me laisse aussi un goût d’amertume
A constater sa plus value,
Mais de 1, il ne l’a pas volé et de 2, pour un club comme le racing avoir un budget digne de ce nom et rester en ligue 1 ça passait par une vente,
Alors oui certains aimeraient revenir en cfa plutôt que de goûter à la multipropriété,
Mais quand on voit à quel point direct racing se fait descendre alors que si on a suivi les match de cfa à national c’était juste grâce à eux, pas sûr que ce soit la solution… -
nouma a écrit, le 30/06/2024 15:22 :
Alors oui certains aimeraient revenir en cfa plutôt que de goûter à la multipropriété,
CFA et Multipropriété ne sont pas incompatibles, Troyes peut (bientôt) en témoigner. -
Oui d’ailleurs l’inverse est vrai aussi on est pas tombé en cfa du fait de la
Multipropriété…
On avait des associés locaux qui passaient leur temps à se mettre des bâtons dans les roues et des jeux de pouvoir a deux balles
Avant keller notre club était tellement attractif et accessible que le dernier président stable c’était Rolland weller , et ça date .. -
J'aurais aimé que le journaliste le pousse un peu plus sur les "Blue Co out" ou "Keller trahison", voire "Blue Co on t'en...le" que j'ai entendu à la Meinau quelques instants chez les UB le jour du match contre Brest.
Voir s'il comprenait une partie au moins de cette défiance et cette colère.
Sinon pour moi Keller n'est ni un saint ni un traître à la patrie.
Il a fait le taf dans la remise au niveau du club et gagné de l'argent pour lui et ses actionnaires.
Donc pas une statue mais pas non plus du goudron et des plumes.
Quand je lis qu'au lieu de la vente à Blue Co "on aurait dû faire ci ou ça" je pense que c'est très facile de critiquer quand on n'est pas aux manettes et qu'on n'a pas toutes les données.
Pour moi la fracture entre les stubistes, et plus largement entre les supporters du Racing au sens large, elle se situe sur l'attente des résultats sportifs à venir.
Une partie des stubistes n'attend rien sinon une descente le plus bas possible pour que Blue Co parte et qu'on reparte à zéro comme en 2011.
Donc même si le Racing était amené à jouer l'Europe régulièrement (supposition hein, pas taper), ils n'en veulent pas parce que c'est Blue Co et la multi-propriété et Chelsea.
Ok.
Moi je fais partie de ceux qui disent que si le Racing était amené à jouer l'Europe régulièrement, je reste preneur du projet, dans le contexte actuel du football que je regrette, mais que je constate.
Pour l'instant on n'en prend pas encore le chemin, je veux voir si cette saison nous rapproche de cet objectif.
Donc j'attends quelque chose. -
Moi ce que j’attends et espère comme supporteur, c’est tout d’abord du beau jeu et un maintient tranquille.
J’attends également que l’esprit du sport ( l’amour du maillot, les valeurs du collectif ) prime sur des plans de carrières où d’emblée le racing ne constituerait qu’un tremplin pour un ailleurs et son pendant côté club où on ferait venir un joueur uniquement pour faire une plue-value dans une transaction. J’aspire au travers du foot à assister et soutenir une aventure humaine et non-pas un calcul même s’il s’avèrerait « gagnant ».
Tu as sûrement raison, Keller n’est ni un saint ni de toute façon pas un traitre. Mais il avait tracé le sillon parfait et là tout fout le camp. Avait-il le choix de faire autrement ? Je pense que oui, avec moins d’ambitions.
Depuis Blueco et Vieira, je n’ai rien vu de ce que j’aime dans le football et que je viens d’énumérer. Le lien de causalité est évident, les départs fracassants de certains joueurs en témoignent et laissent entrevoir une autre dimension qui risque de grandir : La souffrance au travail. Nous avons déjà eu un aperçu de la violence dans la forme des premières mises à l’écart d’Aholou et Prcic, nous avons quelques départs comme celui de Cassard qui arrivent de manière surprenante sans que l’on sache au juste le pourquoi du comment. De loin, avec la loi du silence qui s’exerce toujours dans ces situations, il est toujours difficile de se faire une idée précise de ce qui se trâme. Je n’affirme donc rien, mais je suis en alerte et pour revenir au sujet, cela rajouterait à ma difficulté de m’identifier et supporter un club qui appliquerait des méthodes managériales irrespectueuses. -
Franchement parler de "souffrance au travail" pour des footballeurs ?
Ils pensent tous à leur carrière bien avant l'attachement au club, même pour ceux formés au club, avec quelques très très rares exceptions.
Et c'est bien normal, c'est juste le monde du foot depuis des décennies.
Fin du HS -
yvesdobrasil a écrit, le 30/06/2024 19:04 : Moi ce que j’attends et espère comme supporteur, c’est tout d’abord du beau jeu et un maintient tranquille.
J’attends également que l’esprit du sport ( l’amour du maillot, les valeurs du collectif ) prime sur des plans de carrières où d’emblée le racing ne constituerait qu’un tremplin pour un ailleurs et son pendant côté club où on ferait venir un joueur uniquement pour faire une plue-value dans une transaction. J’aspire au travers du foot à assister et soutenir une aventure humaine et non-pas un calcul même s’il s’avèrerait « gagnant ».
Tu as sûrement raison, Keller n’est ni un saint ni de toute façon pas un traitre. Mais il avait tracé le sillon parfait et là tout fout le camp. Avait-il le choix de faire autrement ? Je pense que oui, avec moins d’ambitions.
Depuis Blueco et Vieira, je n’ai rien vu de ce que j’aime dans le football et que je viens d’énumérer. Le lien de causalité est évident, les départs fracassants de certains joueurs en témoignent et laissent entrevoir une autre dimension qui risque de grandir : La souffrance au travail. Nous avons déjà eu un aperçu de la violence dans la forme des premières mises à l’écart d’Aholou et Prcic, nous avons quelques départs comme celui de Cassard qui arrivent de manière surprenante sans que l’on sache au juste le pourquoi du comment. De loin, avec la loi du silence qui s’exerce toujours dans ces situations, il est toujours difficile de se faire une idée précise de ce qui se trâme. Je n’affirme donc rien, mais je suis en alerte et pour revenir au sujet, cela rajouterait à ma difficulté de m’identifier et supporter un club qui appliquerait des méthodes managériales irrespectueuses.
c'est une vision romanesque du foot qui, à moins d'un gros bouleversement, appartient au passé... Y'a juste un point, où ton post frole un peu trop l'idéalisme c'est la mise à l'écart d'Aholou et Prcic ... ça a existé de tout temps, dans tout club, que le coach ait ses têtes qui se contentent de cirer le banc sans espoir de jouer, rien de spécifique ici. D'ailleurs, si je me permettrais une analogie sur la souffrance au travail, je pense que Bassila a souffert bien plus des sifflets et insultes permanentes qu'il se prenait dans la tête par les supporters après avoir été le chouchou de la Meinau la saison précédente que Prcic ou Aholou d'être mis à l'écart. C'est dur d'être écarté et du coup payé à ne rien faire, c'est un fait mais en général on n'en garde par trop de séquelles, demande à Kurzawa. -
Laurent Nicollin sur l'état du foot Français et du MHSC :
"𝗨𝗻 𝗷𝗼𝘂𝗿, 𝗼𝗻 𝗳𝗶𝗻𝗶𝗿𝗮 𝗿𝗮𝗰𝗵𝗲𝘁é 𝗽𝗮𝗿 𝘂𝗻 𝗳𝗼𝗻𝗱 𝗱’𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮 𝗳𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲. Je ne vous dis pas que c’est mon football, cela fait un petit moment que je ne suis plus dans mon football. (...)
Ce sont les plus hauts placés, les plus riches qui rachètent ceux qui sont en difficultés ou qui veulent vendre. (...) je ne peux pas parler pour un club qui est ami avec un président qui est Marc Keller de Strasbourg, mais je sais que 𝗰𝗲𝗹𝗮 𝗮 é𝘁é 𝘂𝗻 𝘀𝗼𝘂𝗹𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝘂𝗶 𝗱𝗲 𝘃𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝗰𝗹𝘂𝗯 𝗰𝗮𝗿 à 𝘂𝗻 𝗺𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗳𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗶è𝗿𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, 𝗶𝗹 𝘀𝗮𝘃𝗮𝗶𝘁 𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗻’𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃𝗲𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗮𝘀 à 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗲𝗻𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗲𝗿𝘁𝗲𝘀.
Nous avec mon frère et la holding on arrive encore à compenser mais on est presque sur trente millions depuis 2020. On peut mais on n’a pas la structure, les richesses et si on n’a pas les droits télés cette année rajouter vingt millions… 𝗛𝗼𝗻𝗻ê𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, ç𝗮 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗶𝗰𝗲𝗻𝗰𝗶𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗰𝗲 𝘀𝗲𝗿𝗮 𝘂𝗻𝗲 𝗳𝗮𝗶𝗹𝗹𝗶𝘁𝗲 𝗰𝗮𝗿 𝗼𝗻 𝗻𝗲 𝗽𝗲𝘂𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗺𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝘃𝗶𝗻𝗴𝘁 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗻𝘀. 𝗢𝗻 𝗻’𝗮 𝗽𝗮𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗼𝘆𝗲𝗻𝘀 𝗳𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗲𝗹𝗮."
Audition au Sénat -
yvesdobrasil a écrit, le 30/06/2024 19:04 : Moi ce que j’attends et espère comme supporteur, c’est tout d’abord du beau jeu et un maintient tranquille.
Un maintien n'est jamais "tranquille"; demande à Antonetti... Ce n'est pas en affichant cet "objectif" que le Racing attirera des joueurs de valeur. Le club doit clairement annoncer qu'il veut décrocher une place européenne; davantage de joueurs auront envie de venir. Ses moyens financiers étant supérieurs, je ne vois pas ce qui l'en empêche. Vieira a d'ailleurs déclaré en fin de saison que le Racing ne doit pas se contenter de jouer le maintien. -
Tu prends les joueurs et leurs agents pour des imbéciles ?
Il suffit de regarder la liste des joueurs sous contrat pour savoir que, quoi qu'en dirait officiellement le club, il ne jouera guère plus que le maintien. -
Bon par contre les joueurs seront peut être plus vigilants à aller dans des clubs plus sereins financièrement ( en comparant
Des clubs sportivement équivalents) -
Je ne comprends pas cet argument qui consiste à dire « ça a toujours existé » pour justifier une pratique qui peut dans certains cas aller jusqu’aux prud’hommes. Tu ne trouves pas que c’est une manière de refuser de débattre que de dire ça ?zemams a écrit, le 01/07/2024 10:37 : yvesdobrasil a écrit, le 30/06/2024 19:04 :
c'est une vision romanesque du foot qui, à moins d'un gros bouleversement, appartient au passé... Y'a juste un point, où ton post frole un peu trop l'idéalisme c'est la mise à l'écart d'Aholou et Prcic ... ça a existé de tout temps, dans tout club, que le coach ait ses têtes qui se contentent de cirer le banc sans espoir de jouer, rien de spécifique ici. D'ailleurs, si je me permettrais une analogie sur la souffrance au travail, je pense que Bassila a souffert bien plus des sifflets et insultes permanentes qu'il se prenait dans la tête par les supporters après avoir été le chouchou de la Meinau la saison précédente que Prcic ou Aholou d'être mis à l'écart. C'est dur d'être écarté et du coup payé à ne rien faire, c'est un fait mais en général on n'en garde par trop de séquelles, demande à Kurzawa.
Il faudrait peut-être demander à Prcic et Aholou ou même plutôt à leur entourage comment ils ont vécu leur mise-à-l’écart, ce serait sûrement plus parlant que nos projections.
La fin de ton message est drôle mais ironiser sur le thème « être grassement payé pour ne rien faire » est un raccourci confortable pour ne pas avoir à penser le footballeur autrement que sous l’aspect d’un privilégié de la société, heureux parce qu'il palpe des millions à galoper sur les pelouses.
Je comprends complètement la jalousie et le sentiment d’injustice face à des gains disproportionnés, mais c’est un autre sujet, et je pourrais rajouter « ça a toujours existé » dans un retour à l’envoyeur.
Non, ce que je voulais aborder est un vrai sujet. Tout homme qui se sent inutile, même s’il reçoit des millions chaque mois sur son compte en banque, va développer avec le temps des signes de souffrance.
Actuellement la valeur travail est en crise, mais l’homme reste encore avant-tout un être social qui se construit au travers du regard de ses semblables.
Je veux bien prendre ma part d’idéalisme dans mes propos, mais pose-toi aussi la question de la tienne car l’implicite ironique de la fin de ton message revient à maintenir le fantasme que l’argent ferait le bonheur.
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